Qui aurait cru qu’un jeu de gestion de zoo pourrait être un tremplin vers une carrière passionnante ? Pourtant, Planet Zoo cache bien son jeu (sans mauvais jeu de mots) ! Plongeons dans cet univers virtuel pour découvrir son potentiel éducatif insoupçonné.
Présentation de Planet Zoo
- Nom du jeu : Planet Zoo (site officiel)
- Genre : Gestion, Simulation
- Support : PC
- Sortie : 5 novembre 2019
- Développeurs : Frontier Developments (GBR)
- Éditeurs : Frontier Developments (GBR)
- Langues : Anglais, Français, Allemand, Espagnol, Russe, Chinois simplifié, Japonais, Coréen
- Prix suggéré (2024) : 30-45€
- Graphisme : 3D réaliste
- Contenu : PEGI 3, Tous publics
Planet Zoo vous propulse dans le siège du directeur d’un parc zoologique. Fini le temps où vous jetiez des cacahuètes aux singes, maintenant c’est vous qui décidez où vont les cacahuètes ! De la conception des habitats à la gestion du personnel, en passant par le bien-être des animaux et la satisfaction des visiteurs, vous aurez du pain sur la planche.
Mais attention, ce n’est pas qu’une simple partie de plaisir. Derrière ses graphismes léchés et son gameplay addictif, Planet Zoo cache un véritable potentiel éducatif. Préparez-vous à devenir incollable sur la zoologie, l’écologie et la gestion d’entreprise, le tout sans quitter votre canapé !
Planet Zoo sous le microscope KOPE
Enfilez votre blouse de chercheur, nous allons disséquer Planet Zoo avec notre outil d’analyse KOPE. Objectif : comprendre l’impact éducatif et professionnel de ce jeu apparemment innocent.
K – Connaissances
- Zoologie (590) – Gestion des différentes espèces animales : 3/3
- Gestion des ressources naturelles (333.95) – Création d’habitats adaptés : 2/3
- Gestion d’entreprise (658) – Administration du parc zoologique : 2/3
- Architecture (720) – Conception des installations du zoo : 1/3
O – Opérations / Actions
- Concevoir – Création d’habitats et d’infrastructures : 3/3
- Gérer – Administration des ressources et du personnel : 3/3
- Analyser – Évaluation des besoins des animaux et du parc : 2/3
- Planifier – Organisation du développement du zoo : 2/3
- Communiquer – Interaction avec le personnel et les visiteurs : 1/3
P – Compétences personnelles
- Résolution de problèmes complexes : 3/3
- Pensée critique : 2/3
- Créativité : 2/3
- Gestion des ressources : 2/3
- Intelligence émotionnelle : 1/3
E – Ethique et Valeurs
- Respect de l’environnement : 3/3
- Bien-être animal : 3/3
- Éducation du public : 2/3
- Diversité des espèces : 2/3
Qui l’eût cru ? Derrière ses allures de simple jeu de gestion, Planet Zoo se révèle être un véritable outil de développement de compétences. De la zoologie à la gestion d’entreprise, en passant par l’architecture et l’éthique environnementale, ce jeu pourrait bien vous ouvrir des portes insoupçonnées dans le monde professionnel. Alors, prêt à transformer votre passion du gaming en atout pour votre CV ?
Du virtuel au réel : les orientations possibles
Orientations scolaires suggérées
Vous pensiez que jouer à Planet Zoo ne vous mènerait nulle part ? Détrompez-vous ! Voici quelques pistes d’études qui pourraient bien vous intéresser :
- BTS Gestion et Protection de la Nature – Parce que protéger la nature, c’est comme dans le jeu, mais avec de vrais arbres !
- Licence professionnelle Management et gestion des organisations – Pour ceux qui ont adoré jongler avec les chiffres du zoo virtuel.
- École nationale vétérinaire – Si soigner des pixels vous a donné envie de soigner de vrais animaux.
Orientations professionnelles suggérées
Qui aurait cru que jouer à Planet Zoo pourrait vous mener à ces carrières passionnantes ?
- Soigneur animalier / Soigneuse animalière (A1501) – Pour ceux qui ont développé un sixième sens pour les besoins des animaux virtuels.
- Directeur / Directrice de structure touristique (G1403) – Parce que gérer un zoo virtuel, c’est presque comme le faire dans la vraie vie, non ?
- Architecte (F1101) – Pour ceux qui ont passé plus de temps à dessiner des habitats qu’à nourrir les animaux.
Ressources culturelles complémentaires
Pour approfondir vos connaissances (ou juste pour le plaisir), voici quelques suggestions :
Livres suggérés
- « Au cœur des zoos » d’Yves Christen – Pour découvrir les coulisses des vrais zoos, sans risquer de vous faire mordre.
- « La Sixième Extinction » d’Elizabeth Kolbert – Parce que la conservation des espèces, c’est du sérieux (même si c’est plus facile dans le jeu).
- « Les émotions des animaux » de Marc Bekoff – Pour comprendre pourquoi vos lions virtuels font la tête.
Films suggérés
- « We Bought a Zoo » – L’histoire d’un homme qui a acheté un zoo par accident (ne faites pas ça chez vous).
- « La Planète des singes » – Un aperçu de ce qui pourrait arriver si vous donnez trop de liberté à vos primates dans Planet Zoo.
- « L’Odyssée de Pi » – Pour ceux qui ont toujours rêvé de partager un bateau avec un tigre (déconseillé dans la vraie vie).
Séries suggérées
- « Zoo » – Quand les animaux se rebellent (prenez-en de la graine pour votre gestion dans Planet Zoo).
- « The Zoo » – La vraie vie dans un zoo, sans bouton pause ni possibilité de recommencer la journée.
- « Notre Planète » – Pour admirer les animaux dans leur habitat naturel (et vous donner des idées pour vos enclos virtuels).
Envie d’en savoir plus sur Planet Zoo ?
Pour ceux qui veulent creuser davantage, voici quelques ressources supplémentaires :
- Test de Planet Zoo sur PC par jeuxvideo.com
- Test de Planet Zoo sur PC – Que vaut le jeu de gestion ?
Ainsi qu’une vidéo de découverte du jeu par Linca VOD :
Conclusion : Planet Zoo, plus qu’un simple jeu ?
Alors, convaincu que Planet Zoo est plus qu’un simple passe-temps ? Bien sûr, ne vous attendez pas à devenir un expert en zoologie du jour au lendemain juste en jouant. Mais qui sait, ce jeu pourrait bien être la première pierre d’une passion ou d’une carrière future.
N’oubliez pas : la frontière entre le jeu et l’apprentissage est souvent plus fine qu’on ne le pense. Alors la prochaine fois que quelqu’un vous dit que vous perdez votre temps en jouant, vous pourrez lui répondre que vous êtes en train de vous former pour devenir le prochain directeur de Beauval. Qui sait, ça pourrait marcher !